Machia'h arrive, le saviez-vous?
En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil

jeudi 6 octobre 2011

Savoir Garder Le Cap Après…


Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

8 Tichri 5772

La Paracha de A'harei Mot présente un paradoxe quelque peu étonnant. Les versets qui l’ouvrent évoquent Yom Kippour, le jour le plus saint de l’année, au cours duquel le Peuple Juif « ressemble aux anges ». En ce jour, « ils se purifient devant D.ieu ». Et puis, la fin de la Paracha avertit : « ne révèle pas la nudité de ton père, ne révèle pas la nudité de ta mère... N’accomplis aucune de ces abominations ». Il ne s’agit pas exactement de fautes dont il faille admonester les anges ! Pourquoi donc ces deux sujets sont-ils inclus dans la même Paracha ?

La réponse à cette question se trouve en allusion dans le nom même de cette lecture de la Torah : A’harei, qui signifie « après », et dans son premier verset: «Et D.ieu parla à Moïse après la mort des deux fils d’Aharon quand ils se furent rapprochés de D.ieu et qu’ils moururent ».

Yom Kippour est un jour où chaque Juif « se rapproche de D.ieu ». Néanmoins, cette expérience ne doit pas se suffire à elle-même. Il faut, en outre, se concentrer sur ce qui arrive après. La manière dont nous nous sommes rapprochés de D.ieu doit influer sur les jours et les semaines qui suivent.

Les plus profondes aspirations de notre âme et les moments spirituels les plus élevés de notre expérience religieuse doivent être rattachés aux réalités de notre existence matérielle. La spiritualité n’est pas une dimension ajoutée, séparée de notre expérience quotidienne mais un moyen par lequel nous élevons notre quotidien. En faisant la fusion entre notre réalité matérielle et notre réalité spirituelle, nous raffinons le monde, l’imprégnons de sainteté et le transformons en résidence pour la Présence Divine.

C’est la raison pour laquelle nous lisons les passages concernant les relations interdites dans la Paracha qui décrit le service du sacrifice de Yom Kippour et, de fait, nous lisons les interdictions concernant ces relations durant le service des prières de Yom Kippour.

Nous vivons tous des moments où notre cœur se tourne vers le haut et où nous nous sentons plus en unisson avec notre âme et D.ieu, comme cela se produit par exemple à Yom Kippour, un jour où nous nous mettons à l’écart de toutes préoccupations matérielles. Mais même alors, il faut que nos yeux soient tournés vers le bas. La force spirituelle de ces moments spéciaux doit être utilisée pour recharger notre service divin quotidien et nous motiver à agir selon les désirs de D.ieu même dans le contexte de situations où nous pourrions être tentés de suivre un autre chemin.


Issu d'un discours du Rabbi de Loubavitch – Yom Kippour

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

Une demande de bénédictions pour tous les lecteurs de la « lettre de torah » est envoyée au Rabbi de Loubavitch en chaque début de mois.

  • MESDAMES(vous qui êtes mariées), MESDEMOISELLES (dès l’âge de trois ans) : Pensez à allumer les Bougies de Chabbat et de Yom Tov (jours de fêtes juives) avant l’entrée de Chabbat et des jours de fêtes.
  • MESSIEURS : Pensez à dire au moins le passouk « Chéma Israël… » avec les Tefillins chaque jour (sauf Chabbat et Yom Tov (jours de fêtes)).
En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil. 

mercredi 5 octobre 2011

La Force Du Jour De Kippour

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

7 Tichri 5772

Le talmud s'interroge dans le traité Chavouot (13a) sur la capacité de Yom Kippour à effacer les fautes. Nos sages considèrent que seul le repentir permettra à l'homme de voir ses fautes expiées en ce jour saint. Par contre selon Rabbi, le jour de Kippour prodigue le pardon à chaque enfant d'israël même si le retour à D. n'est pas au rendez-vous.

Pour autant quel est le point de divergence dans cette discussion entre les Sages et Rabbi ?

Nos sages comme Rabbi s'accordent sur l'idée que « l'essence même du jour de kippour expie les fautes ». La question qu'ils se posent est : Comment bénéficier de la particularité de ce jour afin que les fautes soient expiées ?

Pour nos sages le repentir s'impose. Seul cet effort offrira à l'homme la possibilité de voir « le jour Kippour effacer ses fautes ». Pour Rabbi, rien n'est dicté à l'homme. Qu'il revienne ou non, « l'essence de ce jour le lavera de toutes ses entraves ».

Pour autant qu'est-ce qui fait que le jour de Kippour puisse nous laver de toutes nos transgressions ?

Le lien qui nous lie à L'Eternel se décline en trois niveaux :

1. A travers nos actions nous nous attachons à l'Eternel. Nos fautes nous écartent de Lui.

2. Un homme qui aurait fauté ne peut supporter ce fossé qui l'éloigne de l'Eternel. La faute réalisée ne lui donne pas de répit. Il ne se sentira mieux qu'après s'être repenti de ce faux pas. Cette force qui l'a poussé à surmonter son erreur pour revenir vers l'Eternel, c'est le « repentir ». Dès lors son attachement à D. n'est plus limité par ses actions. Pour autant il demeure dépendant de « sa volonté à revenir » vers l'Eternel.

3. L'essence de l'âme est unie à l'essence de D. . Rien ne pourra briser cette alliance. L'absence d'actions, la présence de fautes, l'absence de repentir rien n'altérera le lien qui relie la part de D. qui nous habite (l'âme) à notre créateur, l'Eternel.

C'est ce troisième niveau d'attachement à D. qui brille le jour de Kippour. C'est pourquoi ce jour a la capacité de gommer les fautes commises comme les « défauts » portés à notre âme.


Que D. fasse que la volonté de nous repentir durant les jours qui précèdent Kippour comme les bonnes décisions que nous prendrons le jour même de Kippour nous donnent le mérite de recevoir notre juste Machia'h aujourd'hui même.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch - Likoutei Sih'ots Vol IV- Yom Kippour

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

Une demande de bénédictions pour tous les lecteurs de la « lettre de torah » est envoyée au Rabbi de Loubavitch en chaque début de mois.

  • MESDAMES(vous qui êtes mariées), MESDEMOISELLES (dès l’âge de trois ans) : Pensez à allumer les Bougies de Chabbat et de Yom Tov (jours de fêtes juives) avant l’entrée de Chabbat et des jours de fêtes. 
  • MESSIEURS : Pensez à dire au moins le passouk « Chéma Israël… » avec les Tefillins chaque jour (sauf Chabbat et Yom Tov (jours de fêtes)).


En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.


mardi 4 octobre 2011

Hilloula De La Rabbanit 'Hanna - Mère De L'Actuel Rabbi De Loubavitch

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » ! 

6 Tichri 5772

C'est le 13 Nissan 5660-1900 que la Rabbanit 'Hanna épousa Rabbi Lévi Its'hak Schneerson. Le 11 Nissan 5662-1902, naquit leur fils aîné, l'actuel Rabbi de Loubavitch. En 5669-1909, Rabbi Lévi Its'hak devint le Rav de Yékatrinoslav, actuellement niépropétrowsk. Il assuma cette fonction pendant trente ans et la Rabbanit 'Hanna lui apporta, pendant toute cette période, l'aide dont il avait besoin dans ses fonctions rabbiniques.

Outre sa profonde érudition dans tous les domaines de la Torah, la Rabbanit maîtrisait parfaitement le russe, avait une grande intelligence et un contact agréable. Ainsi, elle joua un rôle décisif dans la place prépondérante qu'occupa le Rav, par son autorité et son influence.

En 5699-1939, Rabbi Lévi Its'hak fut emprisonné pour son intense activité tendant à préserver le Judaïsme. Il fut condamné à l'exil, à Tchiaily, au fin fond du Kazakhstan. Dès que la Rabbanit sut où se trouvait son mari, elle fit don d'elle même et partit le rejoindre, malgré les difficultés et le danger qui en résultaient. Lorsqu'elle arriva à Tchiaily, elle parvint à réduire considérablement les souffrances du Rav. Elle assuma également une importante responsabilité d'ordre spirituelle, en fabriquant de l'encre de ses propres mains et en se procurant du papier, pour permettre à son mari de rédiger ses merveilleux commentaires de la Torah, qui furent édités par son fils, une trentaine d'années plus tard.

Ceux qui l'ont connue savent que la Rabbanit avait de rares qualités, que ne possèdent que peu de personnes, dans chaque génération. Elle endura de nombreuses années de souffrance et d'angoisse, d'abord lorsque son mari fut emprisonné, puis exilé et également quand, devenue veuve, elle resta seule, isolée parmi une population hostile, au milieu d'hommes capables de toutes les cruautés envers ceux dont le nom de famille était Schneerson. Même en une telle période, elle sut garder son calme, n'afficha jamais un visage triste ou des yeux amers. Elle sut cacher sa douleur en son coeur et ne lui donna aucune expression extérieure.

En 5707-1947, ses épreuves parvinrent à leur terme et elle put enfin quitter la Russie, de manière clandestine. Elle arriva à Paris et c'est là qu'elle rencontra son fils aîné, qui devint avec le temps l'actuel Rabbi de Loubavitch, qu'elle n'avait pas vu depuis une vingtaine d'années. De Paris, ils partirent ensemble pour New-York. Là, commença pour la Rabbanit une période nouvelle, emplie d'un scintillant bonheur, lorsque son fils prit la tête des 'Hassidim, en 5710-1950.

Le Rabbi lui témoigna toujours un profond respect. Il lui rendait visite chaque jour, le Chabbat comme dans la semaine.
Le 6 Tichri 5746-1985, le Rabbi déclara : « Malgré les difficultés et les nombreux tracas de la vie quotidienne, elle avait pris une responsabilité de plus, celle de diffuser l'enseignement de son mari, afin que de nombreux Juifs puissent avoir accès à ses explications de la partie profonde de la Torah, basées sur la 'Hassidout 'Habad. Elle le fit pour hâter la Délivrance véritable et complète, par notre juste Machia'h, qui dépend de la diffusion de la 'Hassidout à l'extérieur ».

C'est à Brooklyn que la Rabbanit vécut ses dix sept dernières années. Elle quitta ce monde, le Chabbat Tchouva, 6 Tichri 5725-1964. Les écoles Beth 'Hanna perpétuent, dans le monde entier, le nom de la Rabbanit, qui est enterrée à New-York.


Que D. fasse que le mérite de la Rabbanit 'Hanna nous protège en ce jour de sa Hilloula - 6Tichri - et que la prise de conscience de ses nombreux mérites au cours de son existence nous donne le mérite de recevoir dès cet instant notre juste Machia'h.

Issu d'oeuvres présentant la biographie de la Mère du Rabbi - Rabbanit 'Hanna

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

Une demande de bénédictions pour tous les lecteurs de la « lettre de torah » est envoyée au Rabbi de Loubavitch en chaque début de mois

  • MESDAMES(vous qui êtes mariées), MESDEMOISELLES (dès l’âge de trois ans) : Pensez à allumer les Bougies de Chabbat et de Yom Tov (jours de fêtes juives) avant l’entrée de Chabbat et des jours de fêtes. 
  • MESSIEURS : Pensez à dire au moins le passouk « Chéma Israël… » avec les Tefillins chaque jour (sauf Chabbat et Yom Tov (jours de fêtes)).
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lundi 3 octobre 2011

Notre Service Du Grand Prêtre Le Jour De Kippour

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

5 Tichri 5772

Les dix jours de pénitence débutent à Roch Hachana et se concluent à Yom Kippour. Ils débutent avec le son du choffar. Cette sonnerie retranscrit le cri du coeur que nous adressons à D. . A travers cet appel nous demandons à l'Eternel de nous inscrire pour une bonne et douce année.

Ces jours de pénitence se concluent à Yom Kippour. Jour où le grand prêtre servait l'Eternel dans le Beth Hamikdach, vêtu alternativement d'habits en or et d'habits blancs.

Aujourd'hui le Beth Hamikdach de pierre est détruit. Cependant celui qui perdure en chacun d'entre nous, nul ne pourra l'anéantir même s'il le désirait.

Le jour de kippour chacun d'entre nous doit réaliser en son fort intérieur le service du grand prêtre. Il ne peut espérer qu'une autre personne le fasse à sa place. Comment peut-on définir ce service à notre niveau ?

Les habits en or que le grand prêtre revêtait sont à l'image du devoir de tsédaka (charité) que nous avons eu à l'égard de notre prochain. Nul n'a pas pu durant l'année se détourner de cette obligation. Pas même en tentant de justifier que son seul impératif était d'étudier la thora et d'accomplir les autres mitsvots.

Cependant être généreux financièrement ne nous a pas disculpés de la deuxième partie du service du grand prêtre. Moment où il entrait dans le Saint des Saints vêtu de vêtements blancs. Comment peut-on intérioriser cette démarche que le grand prêtre réalisait matériellement ?

Pour nous, ces habits sont les moments que nous avons consacrés à la thora et aux autres mitsvots durant l'année échue. Entrer dans le Saint des Saints vêtus de ces « habits blancs», c'est demander à l'Eternel de considérer ces actions avec bienfaisance et d'accepter de percevoir notre retour à Lui comme agréable à Ses yeux.

Sachons laisser de côté durant ces instants sacrés nos réticences intellectuelles ou sentimentales. Laissons notre « moi profond » s'adresser à notre créateur en ce jour où nous revenons vers Lui. En trouvant grâce devant l'Eternel, nous aurons l'assurance d'être scellés pour une bonne et douce année matériellement et spirituellement.



Que D… fasse que nous ayons une bonne et douce année 5772 où la santé, la longue vie, la joie, l’abondance matérielle et spirituelle sera délivrée à chacun d’entre nous et que nous ayons le mérite de recevoir dès aujourd’hui notre juste Machia’h dans la joie.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch - Likoutei Sih'ots Vol II- Yom Kippour
Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

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  • MESDAMES(vous qui êtes mariées), MESDEMOISELLES (dès l’âge de trois ans) : Pensez à allumer les Bougies de Chabbat et de Yom Tov (jours de fêtes juives) avant l’entrée de Chabbat et des jours de fêtes. 
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dimanche 2 octobre 2011

Le Jeûne De Guédalia Durant Les Dix Jours De Pénitence

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

4 Tichri 5772

Guédalia (assassiné en 3339, soit 422 avant l'ère commune) fut le dernier dirigeant juif de Judée, après la destruction du premier Temple par les armées de Nabuchodonosor.

C'était un homme bon et sage, qui jeta les fondations d'une économie prospère et saine. De nombreux Juifs qui avaient quitté la Terre Sainte rentrèrent au pays lorsqu'ils sentirent un frémissement de vie dans la région. Parmi eux, il y avait un certain Yichmaël, un descendant de la maison royale de Tsidkiyahou, le dernier roi de Judée. Jaloux du succès de Guédalia, il décida de l'assassiner.

Guédalia refusa de prêter attention aux avertissements de ses proches et invita généreusement Yichmaël à participer à la cérémonie qu'il organisait en l'honneur de Roch Hachana. C'est ce moment-là que choisit Yichmaël pour assassiner Guédalia et massacrer une grande partie de l'assemblée.

L'assassinat de Guédalia, qui marqua la fin de l'indépendance juive, est commémoré chaque année par un jeûne qui a lieu le lendemain de Roch Hachana.

À partir de Roch Hachana et jusqu'à Yom Kippour inclus, commencent les Dix Jours de Téchouva - de retour à D.ieu. Durant ces jours Il est comme plus proche de nous et il appartient à chacun de conforter le pardon divin. C'est dire que l'effort spirituel doit y être plus intense, mais aussi qu'il y est plus aisé.

Quels sont, plus précisément, les axes de cet effort ? Ce sont ceux qui correspondent aux « trois piliers qui soutiennent le monde » : l'étude de la Torah, la prière et la bienfaisance.

De tels efforts nous donneront la certitude d'être définitivement scellés pour une bonne et douce année 5772, accompagnés de la réception dès à présent de notre juste Machia'h. 

Que D… fasse que nous ayons une bonne et douce année 5772 où la santé, la longue vie, la joie, l’abondance matérielle et spirituelle sera délivrée à chacun d’entre nous et que nous ayons le mérite de recevoir dès aujourd’hui notre juste Machia’h dans la joie.

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu L

Une demande de bénédictions pour tous les lecteurs de la « lettre de torah » est envoyée au Rabbi de Loubavitch en chaque début de mois.

  • MESDAMES(vous qui êtes mariées), MESDEMOISELLES (dès l’âge de trois ans) : Pensez à allumer les Bougies de Chabbat et de Yom Tov (jours de fêtes juives) avant l’entrée de Chabbat et des jours de fêtes. 
  • MESSIEURS : Pensez à dire au moins le passouk « Chéma Israël… » avec les Tefillins chaque jour (sauf Chabbat et Yom Tov (jours de fêtes))

En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.