Machia'h arrive, le saviez-vous?
En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil

vendredi 4 mai 2012

Pessa'h chéni

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

12 Iyar 5772

En quoi diffère Pessa'h chéni (le second Pessa'h) du premier Pessa'h demande le talmud dans le traité Pessa'him (tosséfta chap. 8, paragr. 3)?

Le second Pessa'h ne dure qu'un jour, tandis que le premier s'étend sur sept jours répond le talmud. Durant le second, le 'hamets (levain) et la matsa se côtoient tandis que durant le premier il est interdit de posséder du pain (Pessa'him (95a)). 

Quel enseignement dans le service de D. peut-on tirer de cette distinction faite par le talmud entre ces deux fêtes?

La fête de Pessa'h est comparable au service du juste. Son travail est progressif à l'image de la fête qui s'étend sur sept jours. Ses efforts sont constamment dirigés vers la sainteté. Faire davantage de commandements positifs est son seul combat. Il n'est jamais confronté au mal. Tout comme la fête de Pessa'h où le levain assimilé au mal a été chassé de notre demeure, notre seul aliment est alors la matsa, comparable au bien

En effet le pain est l'expression du mal car la pâte gonflée est comparable à l'orgueil. Etre abusivement fière de ses qualités est un tort, source de tous les maux. En cela, le 'hamets (levain) est à assimiler au mal. A l'inverse, cette matsa qui n'a pas monté exprime l'humilité, réceptacle de toutes les bénédictions. Le pain azyme est alors associé au bien.

Par contre la fête de Pessa'h chéni (second Pessa'h) est à l'image du service du baal techouva (repenti). Il est celui qui a été capable de revenir vers D.. Cela a pu se produire en un seul instant. C'est pourquoi Pessa'h chéni ne dure qu'un jour.

Dans certains cas son retour à l'Eternel lui a permis de voir ses fautes volontaires transformées en mérites. Dans tous les cas c'est sa confrontation au mal dans le passé qui lui donne aujourd'hui la possibilité d'être gratifié de tant de mérites. C'est pour cette même raison que la fête de Pessa'h chéni autorise le côtoiement du pain et de la matsa, du bien et du mal. 

A travers Pessa'h chéni il apparaît combien l'homme repenti aura su tirer profit du combat antérieur qu'il a livré entre le bien et le mal.

C'est pour ces raisons que Pessa'h et Pessa'h chéni diffèrent dans leur lois comme dans leur approche de D.!


Que D. fasse que le mérite de Pessa'h comme de Pessa'h chéni nous permettent de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès à présent notre juste Machia'h. 

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch -Likoutei Sih'ots Vol XVIII, Sih'a III - Pessa'h chéni.

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de
maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

mercredi 2 mai 2012

La retenue est un signe de force, La sainteté en pratique

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

11 Iyar 5772

Vous est-il déjà arrivé de perdre le contrôle de vous-même et à la dernière seconde de réussir à vous retenir ? Les batailles intérieures de cette sorte sont souvent associées avec les feux de la circulation, les contractuelles et autres représentants de l'administration. Quelquefois, elles se rencontrent également sur le front domestique…

La Paracha Kédochim (Lévitique 19-20) commence avec l’idée que nous devons être saints. Qu’est-ce que cela signifie exactement ? Le commentateur Rachi explique que le terme «saint» implique la retenue personnelle. Dans la vie, nous sommes confrontés à de nombreuses tentations. Être saint signifie avoir l’aptitude à contrôler ses impulsions immédiates.

Un autre commentateur, Na’hmanide, souligne que cette retenue peut parfois conduire la personne à un point se situant au-delà de la simple lettre de la loi. La loi juive autorise l’homme à manger de la nourriture cachère. Mais cela signifie-t-il que l’on puisse se comporter comme un glouton ? Selon cette vision, même si la nourriture est aussi cachère que faire se peut, la retenue est la puissance. Elle montre que l’on est réellement libre comme individu, plutôt qu’esclave de son appétit.

Vous rappelez-vous l’histoire de Jacob, Essav et du plat de lentilles ? L’une des manières de comprendre cette histoire est de voir que Essav était prêt à vendre son droit d’aînesse, le bien le plus précieux de sa vie, contre un plat de nourriture. L’on pourrait s’exclamer: «C’est pathétique!» D’autres pourraient même aller jusqu’à ressentir de la sympathie pour quelqu’un à qui il arrive d’être l’esclave de ses sens. Ils pourraient arguer qu’après tout telle est notre humaine condition. Néanmoins, de nombreux individus aspirent à être maîtres de leur propre être. Un être humain, oui. Un animal : non.

Une grande partie de la Paracha est consacrée à donner des directives à propos de cette espèce de contrôle de soi, dans des domaines différents de la vie. Le thème central en est celui des relations humaines. Le point d’orgue est le fameux enseignement : « Aime ton prochain comme toi-même » (Lévitique 19, 18). Rabbi Akiva en disait que c’est là le grand principe de la Torah ; il concerne tous les autres aspects de la pensée juive. La Paracha nous instruit également de ne pas se venger ni de garder rancune. Cela nécessite très certainement la maîtrise de soi : dans nos actions, nos paroles et même dans nos pensées.

Mais une personne qui parvient à ce contrôle existe-t-elle ?

Nous pouvons imaginer qu’elle serait un individu simple, naïf ou inspiré, qui ne voit jamais de mal en quiconque. Ou nous pouvons imaginer un homme puissant qui a atteint un véritable contrôle de sa personne.

Qu’est-ce que la puissance ? Pendant longtemps, les gens ont pensé qu’il s’agissait d’acquérir la domination sur les autres. Mais désormais nous réalisons qu’il s’agit en fait de la maîtrise de soi-même.

La vie quotidienne nous met face à de nombreux exemples de ces batailles dont parle la Paracha : dans les relations avec nos parents, dans les domaines professionnels, dans les questions de charité, dans les limites entre les hommes et les femmes et également dans notre comportement quand nous sommes réellement en situation de domination sur les autres, en tant que juges. C’est la raison pour laquelle la Paracha nous demande d’être droits dans le jugement du riche comme du pauvre.

Kedochim nous met face au défi de la retenue dans la puissance, pour construire un monde de bonté pour le futur, un monde qui sera entièrement rempli de sainteté.


Que D… fasse que nos nombreux efforts pour rester fidèles aux injonctions de la torah à chaque instant nous donne le mérite de recevoir notre juste Machiah’ en cet instant.

Issu d’un Discours du Rabbi de Loubavitch- Paracha Kedochim

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu




En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

mardi 1 mai 2012

La « couronne » du grand-prêtre

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

10 Iyar 5772

En entrant dans le saint des saints le jour de kippour, le grand prêtre priait aussi « pour sa maison comme pour lui-même ». « Sa maison » désignait sa femme souligne le traité Yoma à son commencement. 


Pourquoi désigner l'épouse de la sorte : « sa maison » ? De plus, pourquoi le grand-prêtre devait-il être marié afin de pouvoir réaliser le service de yom kippour dans le beth hamikdach (temple)?

Rabbi Yossi déclarait (chabbat 118b) : « je n'ai jamais appelé ma femme autrement que ma maison ». Cette formulation « autrement que» souligne l'importance que donnait Rabbi Yossi à cette appellation. Il percevait en cela un comportement noble qu'il avait eu durant toute sa vie. 

Quelle est la beauté d'un tel propos?

Rabbi Yossi savait voir dans chaque élément de la vie, sa juste place. Ainsi, ses enfants devaient leur existence à son épouse qui leur avait donné le jour. Sans elle, rien ne serait là et il n'aurait pas eu l'immense mérite d'avoir une descendance. Commandement que la thora établit comme étant le premier d'une longue liste de 613. C'est donc une éloge qu'il adressait à son épouse en l'associant constamment au mérite qu'elle lui offrait chaque jour, celui de construire une famille-une maison.

Le grand-prêtre devait lui aussi avoir à l'esprit en entrant dans le saint des saints le jour de kippour, que chaque élément qui composait sa vie, n'avait de valeur que celle que lui donne la thora. Il devait percevoir en sa femme, celle qui lui donne la chance de construire un foyer, sans être traversé par d'autres pensées. 

En ce jour saint, la thora attendait du grand-prêtre qu'il exprime son attachement à la thora, même dans les détails les plus personnels de sa vie. C'est pourquoi il devait être marié, car seulement alors, sa personne pouvait révéler toute la sainteté qui compose chacun des faits de sa vie, à travers des pensées toranniques!


Que D. fasse que la prise de conscience de notre peuple de sa véritable identité sur terre, faire une demeure à D. ici-bas, nous donne le mérite de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès cet instant notre juste Machia'h.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch -Likoutei Sih'ots Vol XVII - Paracha A'harei

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

lundi 30 avril 2012

Une leçon de D-ieu

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

9 Iyar 5772

Après que les deux enfants d'Aharon aient quitté ce monde, pour être entrés dans la partie sainte (kodech) du michkan (tabernacle) sans en avoir reçu l'autorisation, D-ieu s'adressa à Aharon. Rachi nous décrit ce dialogue à travers l'exemple que donne Rabbi Eléazar Ben Hazaria : un premier docteur conseille à un malade de ne pas manger froid comme de ne pas dormir dans un endroit frais. Un second docteur lui prescrit par la suite le même traitement en ajoutant, afin que tu ne meures pas comme est mort untel.


En rappelant à Aharon que la raison pour laquelle D-ieu lui interdit d'entrer spontanément dans la partie sainte du michkan est pour qu'il ne meure pas, l'Eternel est comparable au second docteur. Il est alors beaucoup plus prévenant à son égard que lors de sa première injonction. 

Pour autant, quelle est la richesse de cet exemple ? L'avertissement aurait été compris aussi clairement si la parabole avait retenu un homme en bonne santé ingurgitant quelque chose de nocif?

Aharon avait un profond désir d'entrer dans la partie sainte du michkan (kodech) afin de se délecter de la présence divine. Si D-ieu ne l'avait pas prévenu une seconde fois de ne pas entrer dans le michkan spontanément en lui rappelant qu'il risquait de mourir comme ses deux garçons, il est à supposer qu'Aharon n'aurait pu contenir son désir et serait entré dans la partie sainte du michkan, malgré l'interdiction de l'Eternel. 

Seul le rappel que ses deux garçons étaient morts à cause de cela pouvait freiner cette envie.

Tel un homme malade qui sait devoir ne pas consommer d'aliment froid comme ne pas dormir dans un lieu humide. Mais sa fièvre le poussera à enfreindre cette prescription médicale tant cette chaleur interne le fait souffrir
. Seule la note du médecin qui souligne le fait qu'il mourra s'il enfreint cette injonction pourra le freiner. 

C'est pourquoi Rabbi Eléazar Ben Hazaria nous dépeint ce dialogue entre D-ieu et Aaharon à travers l'exemple d'un malade. Il vient souligner que malgré le très fort désir d'Aharon de se délecter de la présence divine dans le sanctuaire, il ne le fit pas, uniquement à cause du «mémo» que D-ieu avait joint à sa prescription : si tu outrepasses Ma volonté, tu mourras comme tes deux enfants !


Que D. fasse que notre volonté toujours aussi vive de recevoir notre juste Machia'h nous donne le mérite de vivre les temps messianiques dès maintenant.

Issu d’un Discours du Rabbi de Loubavitch – Paracha A'harei mot

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

dimanche 29 avril 2012

Qui peut aider son prochain ?

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

8 Iyar 5772

La Thora nous enjoint de porter secours à une personne dont la vie est en danger. Rachi définit les pourtours de ce devoir à travers les termes : « (Porte lui secours) dans le cas où tu le vois menacé dans son existence, et que tu peux le sauver ». 


Le traité Sanhédrin (73b) considère quand à lui que l'interdit de rester insensible à la mort d'autrui s'applique dans tous les cas, que l'on puisse ou non le sauver. 

Pour autant quel enseignement désire nous délivrer Rachi en employant les mots: «Tu peux le sauver» et non « Tu dois le sauver » comme le fait le traité Sanhédrin? 

Selon Rachi et contrairement à l'analyse du Traité Sanhédrin, l'interdiction de rester insensible à la mort de son prochain s'applique uniquement, lorsque la situation remplit plusieurs conditions: 

1. La personne concernée est en danger de mort certain. Si un doute réel subsiste sur le bien-fondé de la menace qui plane sur elle, il n'est pas une obligation d'après la Thora de lui venir en aide.

2. Celui qui constate cette menace doit être parfaitement capable de porter secours à son frère en danger. Dans le cas où le sauveteur potentiel ne serait que partiellement apte à cette tâche, il n'a pas le droit de se mettre en danger, pour sauver son prochain. 

L'exigence de ces deux conditions préalables justifie le choix des mots pour Rachi:

· « (Dans le cas où) tu le vois menacé » : La personne doit donc courir un risque certain.

· « Tu peux le sauver » : Le sauveteur doit être parfaitement à même de pouvoir lui venir en aide. 

Pour le premier maître de la 'Hassidout à savoir le Baal Chem Tov, chaque événement que nous vivons est là pour nous permettre de découvrir un enseignement nouveau dans le service de D-ieu. Confrontés à une situation donnée, D-ieu considère que nous avons toujours la capacité d'y trouver l'idée qui nous manquait pour mieux Le servir. 

Fort de ce principe, si l'Eternel nous place face à une personne en danger de mort, c'est une certitude que c'est parce que nous avons la force de le sauver que nous vivons cette situation. Autrement, pourquoi nous aurait-Il confrontés à un tel dilemme? 


Que D. fasse que l'attention et les égards que chacun d'entre nous témoigne à son prochain nous donnent le mérite de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès à présent notre juste Machia'h.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch -Likoutei Sih'ots Vol XXXII, Sih'a II- Paracha Kedochim

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

L’amour du prochain

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

7 Iyar 5772

Hillel déclara dans le traité Chabbat (31a) : «Toute la Thora se résume à une mitsva : Aimer son prochain. Quand aux autres commandements, ils ne sont que le développement de cette injonction ». 


Bien des années plus tard, Rabbi Akiva enseigna (vayikra 19.18 selon rachi): «Aimer son prochain est un grand principe de la Thora». 

Les deux déclarations semblent contradictoires. Le commandement d'aimer son prochain est-il l'expression de toute la Thora, ou seulement un de ses grand principes?

De façon plus large, Rabbi Akiva vient-il contredire Hillel en enseignant qu'il s'agit là d'un des grands principes de la thora, ou prolonge-t-il son raisonnement, en expliquant que « toute la thora » se retrouve dans ce « grand principe »?

A travers son enseignement, Rabbi Akiva nous permet de ne plus nous tromper. L'enseignement d'Hillel qui a précédé le sien met en lumière la valeur du commandement, «tu aimeras ton prochain comme toi-même». Il nous incite à tout faire, pour mettre
en 
application cette injonction de la thora. Cependant, nous aurions pu même penser que bien des concessions sont autorisées par la Thora afin de mettre en pratique ce noble commandement. 

Hillel ne dit-il pas, que toute la Thora se résume à cette mitsva ! Nous aurions pu croire qu'il nous est permis de négliger l'accomplissement d'une autre petite mitsva afin d'appliquer cette injonction!

C'est face à cette erreur que vient Rabbi Akiva et nous enseigne : L'amour du prochain est un grand principe de la thora. Ce commandement est un des axes de construction de toute la thora. Pour autant, cela ne nous autorise pas à déroger aux autres mitsvots, afin que l'amour du prochain puisse voir le jour. 

Bien au contraire, cette grande mitsva ne peut être pratiquée que si nous savons respecter dans le même temps, les autres commandements qui sont certes, d'une moindre importance.

Ainsi, le respect de toutes les lois de la Thora peut nous porter à devoir parfois prendre des distances à l'égard de notre prochain, afin de le ramener sur le droit chemin!

En somme, Rabbi Akiva redéfinit le cadre d'application du commandement « tu aimeras ton prochain ». Il vient nous livrer un enseignement sur cette grande mitsva, qu'Hillel avait défini avant lui comme étant « l'équivalent de toute la Thora » ! 


Que D. fasse qu'en ayant à coeur d'accomplir cette mitsva qui est l'équivalent de toute la Thora, nous ayons le mérite de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant notre juste Machia'h dès à présent.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch - Likoutei Sih'ots Vol XVII - Paracha Kedochim

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.