Machia'h arrive, le saviez-vous?
En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil

jeudi 21 juin 2012

Miracles en Série (II)

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

2 Tamouz 5772


· Le dépassement de la nature, au sein des limites de la nature

Un miracle se définit par une intervention divine qui, à un degré ou à un autre, défie les lois de la nature. À l'intérieur de cette définition, cependant, il existe deux catégories générales de miracles : pour certains d'entre eux, la nature des choses reste telle quelle, et alors le miracle s'opère complètement en dehors du cadre naturel. Dans d'autres cas, la nature elle-même est miraculeusement transformée.

C'est, par exemple, ce qui distingue le miracle de la plaie du sang de celui où la main de Moïse fut frappée de « Metsora » (la « lèpre » biblique).

Lors de la plaie du sang, le miracle ne consista pas à ce que l'eau se transmute en sang, mais que l'eau, tout en restant de l'eau, soit provisoirement perçue à tous égards comme du sang. L'eau ne changea pas de nature pour devenir du sang, elle ne fit qu'en prendre la « forme ». De sorte que, lorsque le moment vint que la plaie cessa, il ne fut pas nécessaire d'opérer un nouveau miracle pour que le sang redevienne de l'eau, mais seulement de cesser le miracle qui, se superposant à la nature de l'eau, la maintenait sous forme de sang.

D'un autre côté, dans le cas du miracle qui frappa la main de Moïse, celle-ci devint réellement « lépreuse » et il fallut un second miracle pour la ramener à son état antérieur.

Il convient, dès lors, de se demander si le miracle de Yéhochoua, lors duquel le soleil s'immobilisa (cf. Miracles en série (I)) eut lieu au sein de la nature, ou bien transcenda la nature :

Le mouvement du soleil, comme l'enseigne notre tradition, est déterminé par celui de son galgal, la sphère invisible dans l'épaisseur de laquelle il est fixé. Cette sphère fait elle-même partie d'un vaste et complexe système de sphères concentriques qui ont toutes leur mouvement propre (qui sont la conséquence du mouvement du galgal périphérique de l'univers) (voir Rambam, Lois sur les Fondements de la Torah, chap. 3).

Ainsi, lorsque le soleil se figea dans l'épisode de Yéhochoua, cela a pu se faire de deux façons : soit le miracle a arrêté l'ensemble du système sidéral, dont dépend la marche du soleil, introduisant un changement dans la nature même de ce système ; soit l'ensemble du système a continué à fonctionner et à se mouvoir selon sa nature habituelle, et seul le soleil s'est figé, seul son galgal s'est arrêté, de façon surnaturelle.


Ces différents éléments de réflexion vont nous permettre de comprendre dans quel esprit le miracle de l'arrêt du soleil fut réalisé par D. à l'époque de Yéhochoua. (Suite de cet exposé dans Miracles en série (III))



Que D… fasse qu’en ces jours qui précédent le 3 Tamouz, nous ayons le mérite de recevoir notre juste Machia’h.

Issu de deux discours du Rabbi de Loubavitch : Jeudi, 2ème jour de Roch ‘Hodech Tamouz, et Chabbat Kora’h, 3 Tamouz 5751 (1991) 

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu



En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

Miracles en Série (I)

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

1er Tamouz 5772

· Deux sortes de miracles

La libération du précédent Rabbi de Loubavitch, Rabbi Yossef Its’hak, de son emprisonnement dans les prisons soviétiques en 5687 (1927) se fit par étapes : tout d’abord, le jour du trois Tamouz, sa condamnation à « l’inverse de la vie », que D-ieu nous en préserve, fut commuée en une peine de trois ans d’exil dans la ville de Kastrama. Puis, le 12 Tamouz, on lui annonça sa libération totale qui se fit concrètement le lendemain, c’est-à-dire le 13 Tamouz.

Cependant, même après cela la victoire sur ce pays ne fut pas complète. En effet, les persécutions antijuives se poursuivirent, à tel point que le Rabbi dut quitter le pays et ce n’est que dans les années récentes, plus de soixante ans après, que l’on voit la conséquence de cette libération : la délivrance de tous les Juifs de ce pays.

Sachant qu’elle releva d’un pur miracle, on peut de prime abord se demander pourquoi il a fallu que cette libération se fasse en différentes étapes ? En effet, tout ce qui arrive résulte de la השגחה פרטית, la Providence particulière à travers laquelle D ieu gouverne chaque élément de la Création. En outre, il s’agit d’un évènement dans la vie d’un Nassi - un chef - du peuple juif, ce qui signifie que cette libération concerne l’ensemble des Juifs du monde. Il y a donc nécessairement un fondement et une raison à chaque aspect de son déroulement.

En ce jour du trois Tamouz eut lieu, il y a de très nombreuses générations, un autre miracle: lors de la bataille que Yéhochoua livra contre les Émoréens, le soleil allait se coucher alors que la victoire n’était pas encore acquise. Voyant que la nuit donnerait à l’ennemi la possibilité de fuir, Yéhochoua implora « שמש בגבעון דום - Soleil, arrête-toi sur Guiveon !... », « וידם השמש - Et le soleil s’arrêta... » (Josué 10, 12-13), ce qui permit aux Enfants d’Israël de gagner la bataille. Or, sachant que tous les évènements qui se sont produits à une certaine date se renouvellent chaque année à cette même date, il est évident qu’il y a un lien entre ce miracle et celui de la libération de Rabbi Yossef Its’hak.

De plus, la question précédemment évoquée peut aussi être posée en ce qui concerne le miracle de Yéhochoua : dans la mesure où l’objectif de ce miracle était d’aider les Enfants d’Israël à gagner la guerre contre leurs ennemis, pourquoi ne fut-il pas un miracle «complet», qui aurait permis que la guerre soit gagnée immédiatement pas exemple, ou bien que les Enfants d’Israël puissent combattre la nuit ?

Un miracle se définit par une intervention divine qui, à un degré ou à un autre, défie les lois de la nature. À l’intérieur de cette définition, cependant, il existe deux catégories générales de miracles : pour certains d’entre eux, la nature des choses reste telle quelle, et alors le miracle s’opère complètement en dehors du cadre naturel. Dans d’autres cas, la nature elle-même est miraculeusement transformée.

La libération de Rabbi Yossef Its’hak répond au deuxième cas. Elle fut accompagnée de la transformation de la nature même du monde. 

(Afin de faciliter l’approche de ce sujet, son étude sera fractionnée en plusieurs « lettres de thora » - Ndr)

Que D… fasse qu’en ces jours qui précédent le 3 Tamouz, nous ayons le mérite de recevoir notre juste Machia’h.

Issu de deux discours du Rabbi de Loubavitch : Jeudi, 2ème jour de Roch ‘Hodech Tamouz, et Chabbat Kora’h, 3 Tamouz 5751 (1991)

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

mardi 19 juin 2012

La grandeur d’Aharon

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

30 sivan 5772

Kora'h conteste la suprématie d'Aharon en tant que grand prêtre. Dans sa révolte, il lève une assemblée de 250 personnes qui viennent chez Moché demander la révision de son statut. « Nous sommes tous identiques » affirment-ils. Pourquoi Aharon désire-t-il s'élever au-dessus de l'assemblée à travers ses fonctions ?


La question de Kora'h est difficile à comprendre. Il désirait supplanter Aharon dans ses fonctions. Cependant en quoi se distinguera sa prêtrise qui se veut exclusive de celle d'Aharon ? 

Le peuple juif a de tout temps été divisé en deux groupes. Ceux qui étudient la Thora et ceux qui pratiquent les mitsvots. Les premiers sont retranchés du monde tandis que les seconds vivent au cœur de notre société. Pour Kora'h, le second groupe était le plus important des deux. Ceux qui pratiquent les mitsvots révèlent l'essence de D-ieu sur terre comme le souligne l'Admour Hazaken (tanya chap. 37). 

L'événement des explorateurs précédant sa révolte confirmait sa conclusion. Les explorateurs refusèrent d'entrer en Israël. Ils fuyaient le monde matériel et ses actions pour se réfugier dans le monde de la pensée et de la parole en demeurant dans le désert. 
Pour autant ils avaient été punis pour avoir aspiré à un tel mode de vie. Cela signifie que l'action est essentielle conclua Kora'h. Or dans les actes, nous sommes tous identiques souligna-t-il. Rien ne justifie donc la suprématie d'Aharon sur le peuple. 

Pour autant, Kora'h convoitait la prêtrise d'Aharon. Cependant il présentait un programme différent. Il serait certes grand prêtre. Mais il serait l'égal du peuple qui comme lui réalise par l'action, les commandements de D-ieu. 

En fait son erreur fut la suivante. En étant séparé du monde, plongé dans l'étude de la thora, le service du grand prêtre Aharon donnait au peuple la possibilité de révéler l'essence de D-ieu ici-bas. Sans lui, le peuple ne pouvait rien révéler. Il était donc impossible de supprimer le statut particulier d'Aharon. Si ce n'est au risque de priver le peuple de son mérite, celui de révéler l'Eternel à travers les actes quotidiens. C'est pourquoi sa proposition n'était pas envisageable. 

Aujourd'hui encore, ce sont les grands de notre génération qui, séparés du monde, plongés dans la thora, nous permettent de révéler l'Essence de D-ieu à travers nos actes quotidiens. 


Que D-ieu fasse que notre assiduité à mettre en application les paroles de notre Thora nous donnent le mérite de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès à présent notre juste Machia'h.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Likoutei Sih'ots Vol IV et VIII, Sih'a I - Paracha Kora'h 

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu


En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

L’erreur de Kora’h

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

29 sivan 5772

Kora'h désirait instaurer un nouvel ordre au sein du peuple juif. «Nous sommes tous égaux» affirmait -il. L'unité et la paix semblaient être des idées qu'il défendait. Pour autant, il est présenté dans le traité sanhédrin (110a) comme l'expression de la discorde par excellence. La Thora elle-même statue qu'une personne à l'origine d'une dispute enfreint l'interdit « tu ne seras pas comme Kora'h et son assemblée ».


Quelle fut l'erreur de Kora'h ?

Gommer les différences au sein d'une communauté n'est pas toujours source de paix et de salut. Le peuple juif lui-même n'est pas construit sur une base unique. Il est composé de trois groupes d'importance décroissante: Cohen, Lévi, Israël. Le premier est lui-même divisé en deux sous-ensembles : Grands et simples prêtres.

L'existence de différents groupes au sein d'une même assemblée n'est pas en soi quelque chose de mauvais. Pour exemple, la différence qui existe entre le rôle du cerveau et du pied chez une personne est là pour nous le rappeler. Pour autant, la tête comme le pied ont tous deux des fonctions différentes et sont tous deux nécessaires au bon fonctionnement de l'organisme.

Kora'h avait donc tort de vouloir briser les barrières qui existaient au sein du peuple juif. C'est en désirant les supprimer, qu'il risquait d'amener les plus grandes disputes au sein de la communauté. Imaginons un instant un pied qui prendrait la place du cerveau. !

C'est pourquoi l'Eternel s'opposa à la proposition de Kora'h et le punit sévèrement lui et son assemblée.


Que D-ieu fasse que notre assiduité à rechercher la véritable paix au sein de notre communauté nous donnent le mérite de vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès à présent notre juste Machia'h. 

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Likoutei Sih'ots Vol XVIII, Sih'a III - Paracha Kora'h  

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil. 
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dimanche 17 juin 2012

28 sivan : Tomber pour monter plus haut

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

28 sivan 5772

C'est aux Etats-Unis que Rabbi Yossef Its'hak trouva refuge le 9 Adar 5700 (1940) après avoir fui l'Europe nazie et ses horreurs. Le 28 Sivan 5701 (1941), le Rabbi actuel et son épouse arrivèrent eux aussi en Amérique quittant ainsi la France et son occupation.

Le 9 Adar 5700 (1940) est un tournant dans l'histoire de notre peuple. Il est le début d'une nouvelle ère. La diffusion de la torah comme de la 'Hassidout dans un hémisphèrele don de la torah n'a pas eu lieu. En effet, La torah définit la terre d'Israël comme le sommet de l'hémisphère supérieur du globe. C'est dans cette partie du monde que nous avons reçu la torah. Elle s'y est propagée au fil des années. A l'inverse, selon cette même lecture, le continent américain appartient à la partie inférieure de notre planète. Il est situé dans l'hémisphère inférieur, là où le don de la torah n'a pas eu lieu.

Ce « manque » ne freina en rien ni Rabbi Yossef Itsh'ak ni le Rabbi actuel, dans leur élan et leur volonté de diffuser le judaïsme comme la 'hassidout sur ce nouveau continent. « Cet handicap deviendra un avantage » souligna Rabbi Yossef Itsh'ak. Il s'expliqua : Même si ce pays ne se prête pas à priori aux enseignements de la torah, nos efforts révèleront que les Etats-Unis ont la capacité de porter le judaïsme et la 'hassidout aussi loin que cela fut le cas sur l'ancien continent (l'Europe).

Plus encore, ce continent a la capacité de révéler le divin dans une dimension qui n'a pu voir le jour dans l'hémisphère supérieur. S'appuyant sur le principe que toute chute n'a lieu d'être que pour générer une élévation, il affirma : « les Etats-Unis ne sont pas différents (des pays européens) », de l'obscurité ambiante plus dense (qu'en Europe), jaillira une lumière plus forte que sur l'ancien continent.

C'est à cette tâche que s'attela le Rabbi actuel dès son arrivée aux Etats-Unis le 28 sivan 5701 (1941). C'est dans cet esprit qu'il prolongea son œuvre, lorsqu'il devint lui-même Rabbi le 10 Chevat 5751 (1951).

Que D-ieu fasse qu'en ce jour du 28 sivan 5772, nous ayons le mérite d'entendre la «nouvelle thora» du Machia'h en le recevant dès maintenant.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Kovets 28 Sivan-Yovel Chanims. 

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

L’homme: la mission de conquérir

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

27 sivan 5772

Quand Adam fut créé, le Créateur l’informa immédiatement de ses capacités et lui dit quel serait son but dans la vie :

« Remplissez la terre et conquérez-la ; et asservissez les poissons de la mer, et les oiseaux du ciel, et tous les animaux qui se meuvent sur la terre. » (Genèse 1, 28)

L’homme fut doté du pouvoir de conquérir le monde entier et de régner sur lui, sur terre, sur mer et dans les airs, et il lui fut enjoint de le faire ; ceci était sa tâche.

Comment cette conquête du monde devait-elle être effectuée, et quels en sont le but et le sens véritable ? Voici ce que nos Sages nous disent et nous enseignent à ce sujet :

Lorsque D.ieu créa Adam, son âme – son image divine – imprégnait et irradiait tout son être, en vertu de quoi il devint le maître de la Création tout entière. Toutes les créatures se réunirent pour le servir et le couronner comme leur créateur. Mais Adam, leur montrant leur erreur, leur dit : « Rassemblons-nous tous et adorons D.ieu, notre Créateur ! »

La conquête du monde assignée à l’homme comme tâche et mission dans la vie consiste à élever l’ensemble de la nature, y compris les bêtes et les animaux, au service de la véritable humanité, l’humanité telle qu’elle est imprégnée et illuminée par l’image divine, par l’âme qui est véritablement une partie de D.ieu en haut, de sorte que l’ensemble de la Création prendra conscience que D.ieu est notre Créateur.

Inutile de dire qu’avant qu’un homme parte à la conquête du monde, il doit d’abord se conquérir lui-même, par la soumission de ce qui est terrestre et bestial dans sa propre nature. Ce but est atteint à travers un comportement strictement conforme aux directives de la Torah, la Loi de la Vie – c’est-à-dire le guide pratique de la vie quotidienne –, de sorte que le matériel soit pénétré et illuminé par la lumière du D.ieu Unique, notre D.ieu.

D.ieu a créé un homme et, à cette personne unique sur la Terre, Il a imposé ce devoir et cette tâche. C’est là que réside la profonde, et pourtant claire, directive, à savoir qu’un homme – tout homme et chaque homme – est potentiellement capable de « conquérir le monde ».

Si une personne ne remplit pas sa tâche et n’utilise pas ses pouvoirs divins inestimables, ce n’est pas seulement une perte et un échec personnel, mais quelque chose qui affecte le destin du monde entier.


Issu d’une Correspondance du Rabbi de Loubavitch du 25 Eloul 5719 - [28 septembre 1959]

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu


En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.