Machia'h arrive, le saviez-vous?
En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil

jeudi 19 avril 2012

Les temps messianiques

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

28 Nissan 5772

Avec l'entrée du Chabbat, nous récitons le cantique « Le'ha dodi likrat kalla.- Va mon bien-aimé au devant de ta fiancée. ». Ce chant invite D-ieu le fiancé, à aller à la rencontre de sa futur épouse, le peuple juif. Même si au fil des générations l'ultime rencontre n'a pu se faire, rien ne la contredit aujourd'hui. 

Pour autant qu'est ce qui a pu empêcher un si grand mariage durant toutes ces années?

Peut-être qu'aux yeux de son bien-aimé la fiancée avait des « défauts »? Même si cette hypothèse était envisageable, rien de tout cela n'est aujourd'hui d'actualité. Les efforts que le peuple juif a réalisés durant toutes ces années d'exil l'ont lavé de toute imperfection. Il est telle cette fiancée, chez lequel son bien- aimé ne découvre que des qualités.

Le mariage entre D-ieu et les enfants d'Israël - les temps messianiques- ne peut donc être retardé ! 

Parce ce que cette union est imminente, le prophète Yéchayahou affirme: «Ainsi déclare l'Eternel : Gardez la loi et faites la justice, car Ma délivrance est proche». « Faites la justice » est à comprendre comme, faites un commandement positif de plus. «Gardez la loi» comme, ne transgressez plus un interdit. Cet ultime effort peut permettre au monde entier de basculer vers la fin du verset « Ma délivrance est. » effective, et non plus seulement « proche ». 

C'est dans ce même esprit que nous devons nous pencher sur les textes qui exposent dans le détail les temps messianiques. Ils nous permettent de nous imprégner de cette période à venir. Ils nous offrent non seulement la possibilité de précipiter cette étape, mais plus encore, ils nous permettent de les vivre dès à présent.

Pour toutes ces raisons, « vivre avec son temps » prend aujourd'hui un nouveau sens. Celui de prendre le temps de découvrir une époque pleine de bonheur qui nous guette. Cet enrichissement doit nous ravir jusqu'à pouvoir déjà faire de cette perception notre quotidien, durant ces derniers instants d'exil !


Que D-ieu fasse que, tous les efforts que nous avons développé afin de faire la volonté du Rabbi, à savoir « se préparer (pleinement) à recevoir le Machia'h », nous donne le mérite de le recevoir dès à présent.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Pninei Haguéoula- Chap. Annonce et Préparation

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants 
d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu

En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

Etre juif au XXIem siècle

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

27 Nissan 5772

Notre identité juive nous permet d’être en tout endroit les ambassadeurs de l’Eternel. Pour autant un « mode d’emploi » accompagne ce statut. Il s’agit de la torah. Après nous avoir fait sortir d’Egypte, Moché nous a donné ces enseignements sur le mont Sinaï. 

Il fut le premier guide spirituel qui sut nous faire découvrir notre judaïsme (grâce au don de la torah) et qui fut capable de briser les chaînes de notre exil (en amenant sur l’Egypte les dix plaies désirées par l’Eternel). 

Cette réflexion n’illustre pas seulement les étapes qui façonnèrent la naissance de notre peuple. De même que Moché a eu un rôle primordial dans notre histoire de par le passé ainsi en est-il aujourd’hui

De nos jours être juif au quotidien c'est souvent être confronté à de nombreuses difficultés d'ordre pratique. C’est manger exclusivement cacher même en milieu professionnel, garder quoi qu’il arrive le chabbat... Nous pouvons parfois manquer d’enthousiasme et de forces face à tous les obstacles à surmonter.

Où puiser les forces ? 

Prenons exemple sur Moché. Lorsqu’il se présenta devant Pharaon pour la première fois, il n’était que le mandataire d’un peuple assujetti depuis plus de quatre-vingt ans par la première puissance au monde. Pour autant il ne s'en affligea pas. Seul le message divin qu’il devait transmettre au monarque égyptien importait à ses yeux. Sa détermination fit de lui un interlocuteur respectable. Désigné par l’Eternel comme le guide des enfants d’Israël il sut faire valoir ses valeurs. Ses efforts furent couronnés de succès et la parole divine eut le dessus sur le refus de Pharaon de libérer le peuple juif. 

C’est dans cet état d’esprit que Moché dirigea son peuple durant quarante ans.

Depuis cette époque D-ieu donne à chaque génération un guide semblable au « premier libérateur d'Israël ». Aujourd’hui encore un juste marche à notre tête. C’est en prenant exemple sur lui que nous trouverons les forces d’affronter les dernières difficultés de cet exil. Les temps messianiques arrivent, sachons nous y préparer !


Que D-ieu fasse qu’en ce jour du 27 Nissan 5772, veille du 28 Nissan 5772, jour particulièrement propice à la venue de notre juste Machia’h, nous ayons le mérite de vivre aujourd’hui même, cette nouvelle période dans la joie et l’allégresse.

Issu d’un Discours du Rabbi de Loubavitch – Correspondances du Rabbi -25 Eloul 5710 (1950).

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu




En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

mardi 17 avril 2012

Récipients en terre - L'argile, la glaise, la terre... et nous

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

26 Nissan 5772

La Paracha de cette semaine traite des lois complexes relatives à la pureté rituelle, toumah ettahara.

La Torah nous dit que « Tout récipient en terre dans lequel une [créature impure] tomberait... sera impur. »

La loi juive fait une distinction intéressante entre différents types d’ustensiles. Si une source d’impureté pénètre l’espace intérieur d’une poterie de terre, quand bien même elle n’entrerait pas en contact avec ses parois, l’ustensile devient impur. En revanche, si elle ne pénètre pas dans l’ustensile, même si elle en touche les parois à l’extérieur, l’ustensile demeure pur.

Avec tous les autres ustensiles, c’est l’inverse : le fait qu’une source d’impureté soit placée dans leur espace intérieur ne les rend pas impurs, alors que le contact de cette impureté les rend impurs.

Pourquoi cela ?

La valeur d’un ustensile en bois ou en métal ne réside pas uniquement dans sa fonction de contenant. Le matériau qui le constitue possède une valeur intrinsèque. En revanche, un ustensile constitué de simple terre n’a de valeur qu’à travers sa fonction de récipient. En conséquence, son statut de pureté rituelle est déterminé par ce qui se passe à l’intérieur de lui. L’extérieur du récipient, en soi, n’a pas de valeur intrinsèque.

Il y a une leçon, simple, mais ô combien belle, qui peut être apprise de ces lois complexes.

La Torah nous enseigne, « D.ieu forma l’homme de la poussière de la terre, et Il insuffla dans ses narines une âme vivante. » Nous autres, humains, sommes des ustensiles en terre! L’Éthique des Pères nous enseigne : « Ne considère pas le récipient, mais ce qu’il y a dedans. » Ainsi nous devons nous rappeler que notre valeur ne réside pas dans notre aspect physique et matériel, dans notre « extérieur », mais dans notre «contenu» intérieur. Ce qui se rapporte à la personnalité profonde et à l’âme est ce qui détermine une personne, non son aspect superficiel.


Que D…fasse que notre « contenu » trouve grâce aux yeux de D… et que nous ayons ainsi le mérite de recevoir notre juste Machia’h aujourd’hui même

Issu d’un Discours du Rabbi de Loubavitch- Paracha Chemini

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu




En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.

Consumés

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

25 Nissan 5772

L’un des événements majeurs de la paracha de Chemini est la mort des deux fils aînés d’Aaron, Nadav et Avihou qui « offrirent un feu étranger devant D.ieu qu’Il n’avait pas ordonné ». Le résultat fut qu’« un feu sortit de D.ieu et les consuma et ils moururent devant D.ieu. »

De nombreux éléments du récit de la Torah, ainsi que dans les commentaires de nos Sages, indiquent que l’acte de Nadav et Avihou ne constituait pas un « péché » en soi. La Torah rapporte les paroles que Moïse adressa à Aaron, immédiatement après la tragédie : « Voici ce que D.ieu a dit : “Je serai sanctifié par ceux qui Me sont proches.” » Rachi, citant le Talmud et le Midrach, explique ainsi ces paroles :

Moïse dit à Aaron : « Quand D.ieu a dit : “Je serai sanctifié par ceux qui Me sont proches”, je pensais que cela se référait à toi et à moi, maintenant je vois qu’ils sont plus grands que nous deux. »

Rabbi ‘Haïm ben Attar écrit dans son commentaire « Ohr Ha’haïm » à propos de ce verset :

[Leur mort fut] une mort par un « baiser » divin comme celle que connaît le juste parfait. La différence est seulement que les justes meurent quand le « baiser » divin les approche, alors qu’eux moururent en l’approchant... Bien qu’ils aient senti leur fin arriver, cela ne les retint pas de s’approcher [de D.ieu] dans l’attachement, le plaisir, la délectation, la fraternité, l’amour, le baiser et la douceur, au point que leurs âmes les quittèrent.

Les maîtres ‘hassidiques expliquent que la vie – la présence d’une âme spirituelle dans un corps physique – implique un fragile équilibre entre deux puissantes forces de l’âme: ratso (l’aspiration, la fuite) et chov (le retour, s’installer). Ratso est l’aspiration de l’âme à la transcendance, son désir de se dégager de l’étroitesse de la vie matérielle et de parvenir à l’union totale avec son Créateur et Source, dans laquelle il se fondra en Lui. Cependant, en même temps, chaque âme humaine possède également le chov, un désir d’accomplissement, un engagement à vivre une vie matérielle et à marquer le monde physique de son empreinte.

C’est pourquoi l’Écriture appelle l’âme de l’homme «une lampe de D.ieu». La flamme d’une lampe s’élance vers le haut, comme pour se libérer de la mèche et se perdre dans les océans d’énergie qui parcourent les cieux. Mais, alors même qu’elle s’étire vers le haut, la flamme se retient également, resserrant son attache à la mèche et s’abreuvant avec avidité de l’huile de la lampe qui entretient son existence en tant que flamme individuelle. Et c’est cette tension induite par deux énergies contraires, ce vacillement entre l’existence et la dissolution, qui produit sa lumière.

Il en va de même pour l’âme de l’homme. L’aspiration à échapper à la vie physique est refrénée par la volonté d’être et d’accomplir qui, à son tour, est contenue par le désir de spiritualité et de transcendance. Quand les engagements de l’homme dans le monde menacent de le submerger et d’en faire leur prisonnier, le ratso de l’âme résiste en réveillant son désir d’entrer en contact avec sa source en D.ieu ; et quand la spiritualité de la personne menace de l’emporter vers les sphères du sublime, le chov de l’âme intervient, éveillant un désir pour la vie matérielle et les accomplissements concrets. Ensemble, le conflit et la collision de ces deux tendances produisent une flamme qui illumine son environnement d’une lumière divine : une vie qui échappe à l’appel de la terre, alors même qu’elle interagit avec elle et la développe en adéquation avec la vision spirituelle de l’âme.

Ainsi, le « feu divin » qui consuma les âmes de Nadav et Avihou est-il ce même feu qui est présent au cœur de chaque âme : le désir ardent de l’âme de se libérer des oripeaux matériels qui l’éloignent de sa Source. Nadav et Avihou « s’approchèrent de D.ieu » et cédèrent à la tentation d’alimenter le ratso de leurs âmes au point que celui-ci submergea leur chov et qu’ils se dégagèrent alors du « cycle » de la vie. Ainsi leurs âmes brisèrent-elles littéralement leur lien avec leur corps et furent totalement consumées dans une union extatique avec D.ieu.

C’était là cependant un « feu étranger », un feu que « D.ieu n’avait pas ordonné ». L’homme n’a en effet pas été créé pour consumer son être physique dans un feu d’extase spirituelle. Bien qu’Il ait doté notre âme d’un désir pour la transcendance de soi, D.ieu désire que nous ancrions notre ferveur dans la réalité. Il veut que nous « installions » cette aspiration dans notre être physique, que nous l’absorbions et en faisions une partie de notre expérience quotidienne.

Après la mort de Nadav et Avihou, D.ieu commanda spécifiquement que leur exemple ne soit pas reproduit :

Et D.ieu parla à Moïse après la mort des deux fils d’Aaron qui s’étaient approchés de D.ieu et étaient morts : « ... Parle à Aaron ton frère pour qu’il ne vienne pas à toute heure dans le Saint... de sorte qu’il ne meure pas... »

Le Rabbi de Loubavitch ajoute :

Le but de ce commandement divin n’était pas de limiter le degré de transcendance de soi et de proximité de D.ieu accessible à l’homme. Au contraire, ce commandement nous a donné la force de contenir, en tant qu’êtres humains vivants, ce même feu qui consuma les âmes de Nadav et Avihou. C’est pourquoi le « feu étranger » des deux fils d’Aaron était également « étranger » dans un sens positif : un acte sans précédent qui introduisit une nouvelle approche dans le service de D.ieu par l’homme.

Ceci, dit le Rabbi, est le sens d’une remarque que l’on attribue au fondateur du mouvement ‘hassidique, Rabbi Israël Baal Chem Tov : « C’est seulement par un effet considérable de la grâce divine que l’on reste en vie après la prière. »

La prière est la tentative de transcender les enchevêtrements de la vie matérielle et de se rapprocher de son essence et de sa source en D.ieu. Quand une personne parvient réellement à cette proximité – quand elle prie réellement –, elle peut connaître un attachement à D.ieu de l’ampleur de celui qui « libéra » les âmes de Nadav et Avihou. Mais D.ieu nous a donné la capacité (par le fait même qu’Il nous l’a ordonné) d’intégrer de si sublimes expériences dans notre existence humaine au quotidien.

Ainsi, le mouvement de va-et-vient perpétuel de la vie est plus qu’un cycle qui passe de l’existence au néant et du néant à l’existence. Il s’agit plutôt d’une spirale ascendante: l’homme échappe à sa finitude d’être humain, mais est poussé à y revenir pour faire de ses acquis spirituels transcendants une part intégrante de son existence personnelle ; à son retour sur terre, sa nature « fugueuse » s’affirme de nouveau, l’obligeant à dépasser aussi les dimensions nouvellement élargies de son existence ; puis, alors qu’il transcende son nouveau moi, son chov le ramène de nouveau à la réalité.

Oscillant d’avant en arrière, s’élançant vers le haut et revenant à soi, la flamme de l’homme danse à mesure que ses deux volontés les plus intrinsèques conspirent pour l’entraîner à combler des fossés toujours plus larges entre la transcendance et l’immanence, entre l’idéal et le réel.


Que D… fasse que ces deux tendances qui vivent en nous nous donnent le mérite d’appeler du fond du cœur la réception de notre juste Machia’h immédiatement.

Issu d’un Discours du Rabbi de Loubavitch- Chemini - (MeaningfulLife.com)

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu





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lundi 16 avril 2012

L'erreur de Nadav et Avihou

Donnons la Tsédaka avant d’étudier notre « lettre de Torah » !

24 Nissan 5772

Lors de l'inauguration du Michkan (tabernacle), les deux enfants d'Aaron, Nadav et Avihou offrirent spontanément des encens sur l'autel intérieur. Face à cette démarche inattendue, un feu céleste vint ravir leurs âmes. Pour autant Rachi souligne qu'ils durent quitter ce monde, pour avoir discouru à tort devant leur maître Moché.


Résumons les faits:

Cette offrande n'avait pas été ordonnée par D-ieu. Moché n'avait délivré aucune instruction allant dans ce sens. Pour autant, leur départ soudain de ce monde, fut-il une punition pour avoir innové de façon inattendue ? Ou était-ce le prolongement d'un dévoilement divin tout particulier ? 

Le service qu'Aaron réalisa dans le michkan (tabernacle) lors de son inauguration, se conclut par les termes: «un feu sortit de devant D-ieu, et consomma (les sacrifices) offerts sur l'autel extérieur». C'est aussi de cette façon que l'Eternel répondit aux encens offerts par Nadav et Avihou : «un feu sortit.. ». 

On ne peut pas concevoir que la réponse de D-ieu au service d'Aaron fut l'expression d'un contentement et d'un dévoilement divin: « un feu sortit.», tandis que ces mêmes mots transcriraient quelques lignes plus bas la colére de l'Eternel, devant l'attitude dite «inappropriée» de Nadav et Avihou !? 

Nadav et Avihou n'ont donc pas fauté devant D-ieu, tout comme Aaron n'a pas réalisé de faute, en offrant les sacrifices propres à l'inauguration du tabernacle (Michkan). Il est clair que le service d'Aaron trouva grâce aux yeux de l'Eternel, et fut donc remercié par « un feu qui sortit. ». De même l'offrande de Nadav et Avihou trouva grâce elle aussi aux yeux de D-ieu, et reçut pour réponse « un feu qui sortit. ». 

Cependant elle emporta l'âme de ces deux justes, car ils avaient exprimé à travers cette offrande, une démarche que D-ieu n'avait pas ordonnée et que Moché n'avait pas enseignée. En cela, ils adoptèrent une attitude contraire aux enseignements de leur maître Moché. Ils prirent ainsi à tort «la parole » devant leur maître Moché comme le souligne Rachi. C'est là leur seule erreur

C'est pourquoi Rachi considère qu'ils furent punis pour avoir discouru devant leur maître, et non pour avoir offert un feu étranger à D-ieu.

Que D-ieu fasse que de même que les sacrifices ont toujours permis à notre peuple de trouver grâce aux yeux de notre créateur, qu'ainsi aujourd'hui encore nos efforts plaisent à D-ieu et qu'Il nous fasse vivre dès aujourd'hui les temps messianiques en recevant dès à présent notre juste Machia'h.

Issu d'un Discours du Rabbi de Loubavitch- Vol XII-Paracha Chemini

Que D-ieu protège et guérisse miraculeusement tous nos soldats comme chacun des enfants d'Israël, partout dans le monde, Qu'il venge leur sang, et qu'Il ne nous prodigue à partir de maintenant que des douceurs palpables à l'oeil nu


En chaque génération vit un homme qui attend avec impatience de pouvoir libérer son peuple de l’exil.